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mon carnet

6 septembre 2008

un carnet

Ailleurs, avec des ailes rêveur il s’attache ou il se brûle, est il vrai que je suis un amant ?
Ou un entreteneur ? Peut être un guignol ; je me pose la question ; j étais manipuler
Caresser. Son ange ou son cœur, l’apparence trompe ; se trempe.
Sa commodité a elle : c’est son confort complaisant avec un sourire qui dit long, me racontant son histoire ; ses histoires et chaque fois le mystère apparaît et ses zones d’ombres. Quel romance a chacun sa version mais la fin est la même pour tous.
Elle était imperméable souple et son regard anesthésie. Son langage te diminue
Et elle t insère, t’isole .capable de provoquer en toi des dommages dans ton intérieur.
Intérimaire, tu cherches à devenir permanent.      
Mon bateau a chaviré, on a bavé sur ma vie .je bavarde moins !j aime discuter, quel bazar.
On me blâme, on m’accuse d être arrogant, je leurs dis que je suis blanc, je sais que le blanc n’est pas une couleur. A quoi sert de me batarder, mon bistrot est mon langage ; je suis ivre de mes paroles. Gentillesse ou familiarité ça fait ma botte et ça me va ; je ne me programme pas je suis spontanée. . J’improvise moi jamais !mon regard est perdu, Je fixe. ..                                                                                                                                                                         Chacun de nous a sa blessure, j ai la mienne et puis tu te tortures, l’esprit parfois sans raison. Ma bastille à moi, ses cafés et ses restaurants et ses souvenirs qui se bousculent en moi.

Je pensais sentir ses odeurs, croire que j étais là. Voir les bateaux sur ce quai, et ces couples qui se tenaient la main sans pretention.je m’installe dans cette vie, agréable et aimable .et avoir comme argument d’aimer tout simplement, je prétextais le temps de la joie.
Clairvoyant, je parlais, je racontais et je ravalais ma vie et je la répare, je ne simulais pas
Et en t écoutant je restais attacher, discipliner à tes dires maniable, obéissant et toi tu buvais ta noisette.

Dormez sous les feuilles amères, le soir tombe, et toi loin : on n’est plus très jeune.j’ entends très loin tes cris prolongées de douleur ; tu manques de raisonnement .Pardonne mon dieu leur faiblesse et leur vanités .fatalement, tu es grande d’esprit .le Satan s’est toujours mis du côté des faibles.ta force est en dieu, les amis decoivent toujours soit qu’on se fie soit qu’on se mefie.dire qu’on a toujours confiance a l’un ou a l’autre. Se corriger consiste a changer de défauts.
Je meurs si je vous perds, je meurs si je vous attends.
L indécence, l immoralité, on se contamine. Mal dans sa peau, inadapté on accepte mal. Ton histoire te suit.

L’amour est un duel et le hasard ne sert que celui qui le touche. La haine est l’arme du faible, pourquoi Dieu perd son temps a crée les fleures et les étoiles.
Ces hommes qui dévorent le plaisir, qui méprisent l’amour. Pratique le mensonge et la haine.
L’histoire contient des vérités qui servent de leçons.Pourquoi ne pas être un peu franche au plaisir d’aimer.celle qui voit, elle hésite. En un mot, elle est femme pourtant douce et pensive et moi
Comme une branche a la terre en pleurs.

Le 8 sept 2006
Une fin de non recevoir ou un refus. Qui sait ? On avance et on place .on clôture et on achève.
On achève bien les chevaux, on t’élimines on t’expires. C’est vrai qu’elle m’a anesthésié
On croit que je suis insensible et cruel ; je suis non isolable éternel ; je noue avec et je me renoue .elle défait et je joins, je me lie et je m’attache .et puis un coup d’épingle et elle dégonfle un cœur, un non sens. Plutôt un contre sens pour provoquer l’accident qui abîme.qui m abîme…
Je me prête a dormir et voilà que je constate que j ai besoin comme d’un stérilets, quelques chose qui empêche ce mal de me pénétrer .l’ angoisse de penser et de la sentir, et cette chasse qui continue en moi avec son parfait et son imparfait.je charge et je décharge, coupable ou non coupable.
Ma pulsation est d’un cœur malade blessé et cette chasse qui continue sans relâche, un encombrement qui s’entasse, dans cette tête comme une tempête.  Comment trouver avec le temps perdu un remonte-pente .se conforter loin de la personne qui t’a consolé, qui t a ranimé, qui t a retapée. Je sentais entre elle et moi comme un voile   et un jardin qui ne s’arrose plus.                                                                                                         
Le hasard est un roman .et parfois c’est la volonté des autres, il ne sert que les forts.je sentais comme un voile, un obstacle, quelque chose qui me ronge de l intérieure, a l intérieure ; j ne te pénètre plus jusqu a l âme, ni jusqu aux pensées .tu es loin !
La patience est l art d’esperer.l amour ne dure qu un printemps, et la lumière était illusion, dans ce monde on n est sur de rien.  On m a dis retiens ces mots voir, c est savoir ; vouloir, c est pouvoir ; oser, c est avoir.le bonheur il en manque toujours .nos vrais ennemis sont en nous même.                                                                     
Toujours a ses cotes, et pourtant solitaire.l’ indifférence est insensible
On dit que l’amour et l’amitié s’excluent l’un l’autre.j ai pénètre bien des mystères
Elle c’est ma profonde ignorance, sa vérité est une illusion.
J ignorais sa douceur, son amour, folie aimable .un retour de bonheur et un espoir perdu
J étais embarquée dans ses souvenirs sans mon consentement ; cela m’assomme ; et comment en sortir, pourtant je veux mourir dans ses bras, ne dit pas du mal du diable.
Ma faiblesse est ma raison d être, c’est la folie de ne pas être fou.on ne peut être et avoir été.
Une conversion ou une conviction ? Comment s’accorder pour bien vivre, mieux vivre.
Abandonner son amour propre et se donner et parfois payer de sa vie. A quoi sert d être
Brave et estimable, juste et loyal dans cette vie comme un marche qu’on a conditionné,
Homologuer .où on trouve de grosse légume et de gros bonnet.
On participe à éjecter, à comploter on lançant des bravoures.qui chargent les personnes a enchérir contre eux même ? A élire des idiots qui se reposent sur nous et chacun a sa troupe.
Qui crient pour l’un et qui agresse l’autre ? 
Dormez sous les feuilles amères, le soir tombe, et toi loin : on n’est plus très jeune. j’entends  très loin tes cris prolonges de douleur ; tu manque de raisonnement.pardonne leur faiblesse et leur vanite.fatalement tu es grande d’ esprit,le Satan s’ est toujours mis du cote des faibles.ta force est en dieu,les amis doivent toujours soit qu’ on se fie soit qu’ on se mefie.dire qu’ on a toujours confiance a l’ un ou a l’autre  . Se corriger consiste a changer de défauts
Je meurs si je vous perds, je meurs si je vous attends.
Ce a quoi tiennent particulièrement les gens qui aiment, ce n’est pas d’avoir raison, mais a être libre d’avoir tort.seul, frappe toi le cœur, il est ou la raison ?inutile de s’étonner puisque seul on connaît sa vérité, j ai eu d’abord, en traversant mon histoire une crainte, j ai passe, sans début sans fin juste au milieu. Une haine comme l’amour qui se nourrit et qui fait vivre, inspire à la vengeance contre qui contre quoi.
Cette histoire du milieu au milieu je l’ai trop aime pour ne pas la détester. 
Amour tu me tiens, qui peut le connaître. On n’aime, on s’étonne, j ai trouve le plaisir 
Qu’ importe.tu me portes dans ton cœur tu me supportes.Aimer pour être aime, aimez moi
Donc. J ai le silence et la nuit pour pleurer comme une plante brisee couverte de ta pluie de tes sourires fleuves innondants mon visage.toi ma prière d’amour. Après dieu et le prophète ? Je m’incline a toi.
Un égoïste est incapable d’aimer, il ne peut se passer d’amis, ils’aimerait jamais a lui seul.Nos vrais ennemis sont en nous même.
Distinguer le vrai du faux.le bon sens ou la raison.exclure le cœur, n’admettre que la raison est le sentiment qui l’a conduit.
La reconnaissance a la mémoire courte le monde est fait ainsi , ce qui charme s en va ;ce qui peine reste,la rose vit une heure et l’ arbre cent ans.
Je hais cette vie accidentel qui nous conduit a la mort et non a l amour.
Aimer c’est choisir, en faire partie, je meurs si je vous perds, je meurs si j’attends.
Si on me demande de pleurer le sang pour toi, je le pleure.de me vendre comme joie pour toi je suis esclave.de vivre sans toi c’est comme un foyer sans toit.
Tu me manques comme un aveugle sans canne.comme un cuisinier sans gout.comme un tableau sans couleur.
Il faut encore souffrir pour t’aimer, l’amour parle, se raconte, se chante, je veux souffrir aimer seulement simplement.repeter sans cesse mon serment de vivre et de mourir d’amour.
On ne joue pas avec l’amour, on trompe pas l’amour, sans détours sans ruse.aimer après avoir aimer.
Je ne sais et pourtant mon amour s’additionne, ne se divise pas, s’accélère ne ralentit pas, se remplit ne se vide pas.je suis ta règle, ton moteur, ton verre, ta soif, ton essence, ton eau.
Un cœur qui se déchire, un destin qui se brise, un sourire est des larmes couleurs fragile en porcelaine. Je te veux en cancer que tu me ronges que je meurs en ta maladie.que ta maladie m’habite tous les jours toujours.que ma mort soit ta vie et ton bonheur mon malheur et ta joie ma tristesse.tu es la mais loin.
   Un silence éternel m’effraie, le cœur ne peut pas comprendre.s’ il fallait condamner toutes les trahisons au monde a qui pourrait-on pardonner.
Pourtant j’ai vu pleurer les paupières, et puis d’un seul trait n’aimant rien que toi-même.
Tu vides ton verre dans le doute et la crainte et on méprise.
Juste et jaloux, je le blesse, il ne comprend pas. Ces verbes sont au futur. L’incompris n’aime pas l’injustice.
Mon beau printemps est fini, mon été arrive de tristesse ; un tissu d’horreurs, je vais me taire pour mourir .je vais apprendre a hurler souviens toi de te méfier.
Chaque soir, j’attends le lendemain, je hais les habitudes, voir la nuit qui finit pas.mon dieu que je souffre, seul battu, ne me demandez- pas après : après leurs nuits vont être noir.
  Un silence éternel m’effraie, le cœur ne peut pas comprendre.s’ il fallait condamner toutes les trahisons au monde a qui pourrait-on pardonner.
Pourtant j’ai vu pleurer les paupières, et puis d’un seul trait n’aimant rien que toi-même.
Tu vides ton verre dans le doute et la crainte et on méprise.
Juste et jaloux, je le blesse, il ne comprend pas. Ces verbes sont au futur. L’incompris n’aime pas l’injustice.
Mon beau printemps est fini, mon été arrive de tristesse ; un tissu d’horreurs, je vais me taire pour mourir .je vais apprendre a hurler, souviens toi de te méfier.
Chaque soir, j’attends le lendemain, je hais les habitudes, voir la nuit qui finit pas.mon dieu que je souffre, seul battu, ne me demandez- pas après : après leurs nuits vont être noir.
                                                 
Dormez sous les feuilles amères, le soir tombe, et toi loin : on n’est plus très jeune.j entends très loin tes cris prolonges de douleur ; tu manque de raisonnement. Pardonne leur faiblesse et leur vanité. Fatalement tu es grande d’esprit, le Satan s’est toujours mis une cote des faibles. Ta force est en dieu, les amis doivent toujours soit qu’on se fie soit qu’on se méfie .dire qu’on a toujours confiance a l’un où a l’autre. Se corriger consiste a changer de défauts
Je meurs si je vous perds, je meurs si je vous attends.    
Esquinté et atteint comme un taureau dans une corrida. On abîme les hommes, je crois même qu’on fabrique la bêtise nous même et on se tue avec. Nous constipons notre vie et nous la rendons indigeste ; nous nous mettons hors service par les contrariétés   .
Nous   embetons l’autre nous rentrons dans sa vie. j l’accuse et j’accentue et je l’accapare
Et je l’attache et je m attache et je lui donne un coup de cœur et je l’assomme a jamais
Et j attends qu il se relève.
Avoir envie ou aimer mieux, prendre plaisir ou s’intéresser ou goûter peut être
Aimer mieux c est être aimé de dieu.
L’absurdité du non sens en déshonorant l être sans mesurer les conséquences est
Une violence, l’animalité qui nous habite, l imbécillité qui nous gagne, on s’enfonce, on l’a consomme. Qui a dit que l’homme est bon, non il veut être absolu, pire totalitaire, tout puissant, autoritaire. Chaque fois qu’on lui offre le pouvoir, son pouvoir .il commence à s’imaginer le pire pour son semblable. il monopole et spécule, il accumule et il absorbe .et on l’acclame parce qu il possède et on se rallie a lui, il est fort ; .celui qui dicte la violence, aime les alliances .il est arrangeant, sert mieux celui qui capitule.celui qui le contrarie est un ennemi plus un terroriste.
La reconnaissance a la mémoire courte, c’est très bien j’aurai tout manque, même mon amour, même ma mort.qu’ as-tu fait, pleurant sans cesse, celui qui regarde tout ne voit rien.j ai été ami frère sincère, je suis devenu élément gênant irreconcilliable et mon tout et un rien .les blessures qu’on m a fait ne se fermeront jamais .je n ai pas eu de choix que d’accepter mon malheur .le pardon est ma culture même en gardant mes cicatrices.
Pour moi je n ai qu’un besoin celui d’aimer ; aimer les gens.
(La vie est un sommeil, l’amour en est le rêve)
Le 8septembre2006
Le téléphone sonne la messagerie gueule que ton contact est absent ; les absents ont toujours tort.et toi Tu consultes ta boite qui te réponds « sale con » t’as pas de message.de la même façon ta putain de vie se répète et tu te dis j étais un megalo ou un prétentieux.
Mon couloire me parait long,
Je ne suis pas un contrefait je suis original ; je n’aime pas la difformité .désordonné je déteste l’ordre, j ai vécu je ne regrette que le sourire que j ai perdu et puis chaque fois que je chute je me relève avec élégance comme celui qui tombe devant les gens, être élégant ne va pas avec l habit c est le doigte je dis même que c est un don c est la maestria c’est un système pas
Loin du D
                                                                                                 Ton amour est la couleur de ton regard, mon âme, il faut partir, mon amour est passée, si terrible, le délire si cruel empoisonnes de la vengeance avec ses parfums qu’on a trop aimes
Je suis de toute âme qui aime. L’amour est mon pays.
La moitie d’un ami, c est la moitie d’un traître .une blessure, j ai la mienne.une blessure ancienne au visage abaisse comme une qui ne veut qu on la cherche ou qu on l’aime
Dans l espace et dans la durée.
Je pardonne de ne pas être de mon avis, mais demandez moi mon avis, mon avis : l’amour est la moitie de croire, l’amour n’est qu’un plaisir, l’honneur est un devoir, le plaisir Arrive tout a coup, tombe sur la vie la bouleverse ; arrache les volontés et abîme le cœur. Amour ne va pas sans l’estime. Le plaisir dure un moment, le chagrin dure toujours. A vous de choisir amour ou plaisir.
Et puis je n aime plus j ai autant d envie de ne plus être aime quand je vois arriver la nuit
Et je pense qu on m a trahi qu on souffre a ma place, dans la vie il faut savoir compter, mais pas sur les autres quel comédie démontrer moi le contraire.

Un jardin qu’on a déserté .la fleur ne bourgeonne plus, on a laissé, délaisser ses grappes de raisins et ses tomates, ses salades .et ses mauvaises herbes, la main n’est plus là. On a incisé une vie, un destin .A la fin faire une fin ou mettre une fin a cette dévorante vie où on sacrifie les êtres chers et on détourne nos vies, les vies, pourquoi la haine déborde.
Dans ce théâtre où on joue une comédie où on se feinte et on simule ; on se déguise et on frime.
Autrefois ce jardin était un paradis, où les petits dansait, chantait, et le papa fumait, buvait.
Et sa dame racontait, se racontait, papotait. A qui on réserve le respect humain, faut t’il abaisser pour convaincre et se faire aimer. L’honneur ne va pas sans la fierté.
Un cœur qui se déchire, un destin qui se brise, un sourire est des larmes couleurs fragile en porcelaine. Je te veux en cancer que tu me ronges que je meurs en ta maladie.que ta maladie m’habite tous les jours toujours.que ma mort soit ta vie et ton bonheur mon malheur et ta joie ma tristesse.tu es la mais loin.Détruire et annuler toute une histoire, dégommer ou relever l’amour de sa fonction. Je blâme ce monde qui n’est pas limpide, ni claire.
La faute a des petit merdeux qui se moquent de ce qui croient a leur faiblesse. Je félicite les gens sans âmes qui cabotent sans limite et qui font croire qu’ils aiment. Qui détermine l’amitié qui confirme l’amour ?  Dans ce lieu géométrique comme un noyau dur   mais fragile.Etonnant ou exagéré, toi l’artisan de l’amour, le manufacturier de ce destin, tu te donnes et tu en sais rien, derrière ton dos il se passe des choses Mon pauvre ! Tu étais candidat   et ton test était de flatter, de complimenter, tu courais sans le savoir derrière je ne sais quoi et pourtant.
T’as mal au cœur, tu me crois. On se fait domestiquer. : adhérer ou aider…
  Quoi sert de pleurer ? Ni la pitié ni le pardon ni le retour

La puissance ne consiste pas à aimer fort ou souvent, mais à aimer juste.
Partir c’est mourir un peu. J étais le coupable mais condamner comme un innocent.
J ai compris de quoi l être humain est capable .on ne tue bien que ce qu’on aime.
Je m’attendais à ce vent qui va éteindre les bougies et allumer le feu ; l’absence de ce qu’on aime même si elle dure, a toujours trop duré et mon amour refuse la rupture car le cœur est habitée à jamais. Je ne demande rien et je n attends rien.
On ne loue pas l’amour on l’achète pas .il demeure à jamais dans l éternel boite dans nos souvenirs ; il conserve ces traces et ces moments, ces jours et nuits.
J étais un criminel qui s’ignore ; j ai piétinée une vie. Je n ai pas su dire du bien de toi et j’ai rien fait.

Je ne suis pas capable de grandes choses, mais je suis sensible.  L’amour ne consiste pas a partager avec les autres ce qu’on possède mais ce qu il ne possède pas .c’ est ma pensée, comprendre c’est pardonner.
Ce qui me plait en toi, ce sont mes souvenirs.
Quand on a tout perdu, quand on a plus d’espoir, la vie ne vaut rien et la mort est un devoir .vivre est une chanson dont le refrain est la mort.  Vivons heureux et sois courageuse, patiente et aime tes proches, que Dieu te garde   .    (Je ne cherche pas à te contacter ni à t'attendrir c’est comme ça et je demande rien)
                                                                                       Latif roman 
   

                                                                                                                    Fin

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